Charlotte Howland a suivi la formation Graphiste plurimédia en 2017.

charlotte

Dans quel état d’esprit étiez-vous au moment de vos recherches de formation ?

Je venais d’obtenir une rupture conventionnelle auprès de mon employeur. Je travaillais pour une marque de cachemire en tant que styliste/commerciale et n’avais plus de perspective de progression au sein de cette entreprise. Je cherchais également à retrouver du sens dans mon quotidien professionnel car je quittais un emploi où il fallait vendre à tout prix et où on avait, à mon sens, perdu l’amour du métier.
Je souhaitais également me former dans un métier qui me permettait d’être créative et de dessiner, renouant ainsi avec ma formation initiale en stylisme.

Pourquoi avoir choisi l’émi ?

L’Emi répondait à toutes mes attentes. Lors de la journée Portes Ouvertes, j’ai découvert les travaux des stagiaires pour Médecins sans Frontières, ceux de créations d’images et des travaux autour de la typographie. Ces travaux créatifs et forts de sens m’ont convaincu.

La formation que vous avez suivie a-t-elle répondu à vos attentes ?

Oui, c’est une formation dense et de qualité avec des intervenants professionnels du graphisme amoureux de leur métier et heureux de le transmettre aux nouveaux venus.

Le stage pratique a-t-il été formateur et pour quelles raisons ?

Le stage permet de se confronter à la réalité du métier de graphiste et de se tester avant le grand plongeon dans le retour à la vie professionnelle.

Comment et quel type de travail avez-vous trouvé à l’issue de la formation ?

J’ai été en CDD dans un bureau d’études qui faisait de l’aménagement de bibliothèque. Je suis aujourd’hui Free Lance et travaille notamment pour : l’atelier Corbin, Nexity, OGIC, la CFDT, Moulins Habitat… Pour ces clients, les types de travaux sont très variés. Je conçois entre autres des identités visuelles, des affiches, des publications (brochures, livrets, magazines) visuels web et réseaux sociaux, des animations simples…

Quel est la nature du lien qui vous relie à l’émi (camarades de promo, intervenants, etc.) ?

Je travaille avec deux stagiaires de ma promotion avec qui nous avons monté un collectif : Le Râtelier.

 

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J’ai gardé de très bons rapports avec les intervenants et professeurs de l’école. Nous nous revoyons avec plaisir lors des réunions des anciens et des événements organisés par l’école.